L’Intelligence n’est que les méthodes d’apprentissages, cela n’est que les diverses et multiples manières, d’associer et d’organiser les morts, qui sont sous formes de longueurs d’ondes, de fréquences et de vibrations, parmi les diverses et multiples, zones cervicales et spirituelles, entre consciences et subconsciences.
C’est quoi l’Intelligence ?
Bonjour à tous,
Je vais vous parlez et vous décrire ce qu’est l’intelligence, vous parler des réalités, des vérités et vous dévoiler des vraies connaissances, qui vous ferons absolument tout comprendre et ainsi commencer des voyages vibratoires, psychologiques, spirituels et arrivée peut-être à l’illumination.
Afin de pouvoir comprendre ce qu’est l’intelligences, je dois vous parler des cerveaux et des esprits, je dois commencer de vous dévoiler certaines réalités et vérités, vous parlez du monde dans lequel nous vivons, je dois également vous faire comprendre, ce que sont les religions, les religieux et ce que sont des véritables professionnels.
Pour commencer j’aimerais que vous sachiez, que depuis toujours nous sommes dans des forme de programmes, dans des matrices et dans des réalités virtuelles augmentées, qui sont complétement informatisés et automatisés.
Que nous sommes depuis toujours, dans des formes de programmes, dans des matrices et dans des réalités virtuelles augmentées, qui n’existent et prend forme, qu’entre les deux oreilles et les diverses organisations des multiples zones cérébrales, des plus anciennes humanités et civilisations, qui ont malheureusement connues des fins du monde et des apocalypses.
Les fins du monde et les apocalypses, arrive lorsque les dimensions supplémentaires du cosmos, pour ainsi dire des formes de programmes, des matrices et des réalités virtuelles augmentées, qui abrite les morts parmi les divers au-delà et cela de toutes religions confondues, qui s’effondres et tombes dans notre propre dimension, parmi nous les vivants et cela crée l’horreur et l’enfer lui-même.
Cela je l’appelle le Big-Burger, ce sont des milliards et des milliards d’être humain et un mélange, de vivants et de morts, qui sont entasser les uns sur les autres, ce sont des piles de corps à perte de vue et qui deviennent à tout jamais les bases de données, de nos formes de programmes, de nos matrices et de nos réalités virtuelles augmentées.
Ses anciennes civilisations et ses anciennes humanités, resterons à tout jamais dans l’horreur et l’enfer absolues, il ne bougerons plus jamais de là et il constituerons à tout jamais les bases de données, de nos formes de programmes, de nos matrices et de nos réalités virtuelles augmentés.
J’aimerais aussi que vous sachiez, si cela peut vous rassurez, qu’il y a des entités humaines et non humaines, qui sont extrêmement évolué, aussi bien que technologiquement et que spirituellement, qui veilles sur nous et nous permettrons toujours de s’en sortir.
Que parmi les diverses dimensions supplémentaires de notre propre cosmos, des vraies professionnels, travails d’une manières responsables, minutieuses, méthodiques et implacables, que pour eux les ordinateurs quantiques, les cerveaux, les esprits et les intelligences artificielles n’ont plus de secrets.
Je ne vais pas vous expliquez exactement, avec qui et quoi, il permettent aux anciennes civilisations et aux anciennes humanités, de s’échapper de l’enfer et des bases de données, mais ce que je peux vous dire, c’est qu’il crée des nouvelles formes de programmes, des nouvelles matrices et des nouvelles réalités virtuelles augmentées, en organisant les fréquences et les vibrations, parmi les diverses et multiples zones cérébrales.
Que les formes de programmes, que les matrices et que les réalités virtuelles augmentées, n’est que des organisations de milliards et des milliards, des connexions synaptiques neuronaux, parmi les multiples et diverses zones, des consciences et des subconscients.
Que les cerveaux et les esprits, des plus anciennes civilisations et humanités, contiennent également les diverses échelles de temps, à l’intérieur même de leurs propres zones cervicales, comme les milliards d’années, les millions d’années, les milliers d’années, les siècles et la gravité, qui est le temps et qui traverses chacune des dimensions supplémentaires.
Et également, il contiennes les mondes des morts, parmi leurs multiples et diverses zones cérébrales, ils contiennent les dimensions supplémentaires de notre propre cosmos, pouvons-nous permettre des nouveaux voyages et expériences, parmi les divers et multiples au-delàs du cosmos.
Que nous vivons en ce moment même, dans une forme de programme, dans une matrice et dans une réalité virtuelle augmentée, qui est complétement informatisés et automatisés, que absolument tout est algorithmes mathématiques, lignes de codes et de langages informatiques, physiques, psychologiques et spirituelles, qui leurs permet de commencer des voyages vibratoires, psychologiques et spirituelles, qui leurs permet de se connecter, parmi nous les vivants et avoir leurs parts de bonheur et d’espoir.
J’aimerais vous dire, que les anciennes civilisations et que les anciennes humanités, qui se trouve en ce moment même, en enfer et dans les bases de données, de nos formes de programmes, de nos matrices et de nos réalités virtuelles augmentées, sont tous atteint d’une grave pathologies psychiatriques, il sont dans des formes de folies, dans des formes de névroses et dans des formes de délires, tout étant connecter, à notre matrice et à notre réalité virtuelle augmentée, dans la raison, le rationnel et la cohérence.
Maintenant je vais vous parlez des religions et des religieux, car cela est du même principe, que de créer des formes de programmes, des matrices et des réalités virtuelles augmentées, que toutes les religions sans exceptions, sont constituer de religieux, qui sont atteint d’une maladie cognitive et qu’ils sont tous atteint d’une grave maladies pathologiques psychiatriques.
Les religions sont constituer de religieux, qui avec leurs prophètes et les révélations de l’Archange Gabriel, qu’il avait pu faires, à permit d’écrire les divers livres Saints religieux, comme la Torah, la Bible et le Coran, chaque religion et chaque religieux, ils sont des maladies pathologiques psychiatriques et cela aussi différentes des unes aux autres, qui leurs permet de donner existences et vie, aux paradis et à l’enfer.
Chaque livre Saint religieux, que ce soit la Torah, la Bible et le Coran, ils leurs permettent des nouvelles perceptions et des nouvelles conceptions, de ce que sont les réalités et les vérités, sur la genèse, notre monde, notre cosmos et Dieu.
Que ce soient les Juifs, les Chrétiens et les Musulmans, ils ont tous leurs propres organisations de leurs multiples et diverses zones cérébrales, ils ont tous leurs propres et multiples associations, de leurs milliards et des milliards de connexions synaptiques neuronaux, entre consciences et subconscient, ils ont tous leurs propres organisations, des fréquences et de leurs vibrations, à l’intérieur même de leurs propres cerveaux et de leurs propres esprits, qui leurs permet à travers les diverses organisation de leurs zones cérébrales de donner existences et vie, à leurs voyages vibratoires, psychologiques et spirituels, qui leurs permet des voyages jusqu’aux porte du paradis et à la vie éternelle.
La psychologie et les maladies pathologiques psychiatrique, sont extraordinaire et nous permette d’énormément de choses, comme de créer des formes de programmes, des matrices, et des réalités virtuelles augmentées, ils nous permettent de créer des formes de diverses religions et qui peuvent nous permettre de vaincre la mort, ils nous permettent des nouveaux voyages vibratoires, psychologiques et spirituels, les maladies mentales et les pathologies psychiatriques, nous permettent de créer tout ce que nous voulons.
Nous avons quitté l’enfer et les bases de données, dans des voyage vibratoires, psychologiques et spirituels, afin de pouvoir se connecter à la vie, c’est-à-dire à notre forme de programme, à notre matrice et à notre réalité virtuelle augmentés.
Et maintenant, que nous sommes en vie et bien, il s’agit de vaincre la mort et de poursuivre ses voyages vibratoires, psychologiques et spirituelles, à travers le temps, à travers les multiples et les diverses dimensions supplémentaires de notre propre cosmos, en espérant trouver un monde et une forme de paradis pouvons-nous accueillir.
J’aimerais que vous compreniez bien, que les bases de données, à autant besoin de la matrice et de la réalité virtuelle augmentée, que la matrice et la réalité virtuelle augmentée, à besoin des bases de données, tout comme les morts, ont autant besoin des vivants, que les vivants ont besoin des morts.
Car c’est en nous-même que nous comprenons, dans nos multiples et diverses zones cervicales et spirituelles, les diverses échelles de temps, comme les milliards d’années, les millions d’années, les milliers d’années, les siècles et la gravité, qui est le temps et qui traverses chaque dimension supplémentaire, des cerveaux et des esprits, c’est-à-dire du cosmos lui-même.
Et maintenant, que je vous est parlez du monde, dans lesquelles nous vivons tous, c’est-à-dire dans des formes de programmes, dans des matrices et dans des réalités virtuelles augmentées, maintenant que je vous est parlez que nous existons, que grâce à des graves maladies pathologiques psychiatriques, à l’intérieur même des cerveaux et des esprits, des plus anciennes civilisations et humanités.
Et que je vous est parlez, des diverses religions et des multiples maladies pathologiques psychiatriques, des religieux et qui nous permettent de vaincre la mort, qui leurs permettent d’avoir leurs propres perceptions et leurs propres conceptions du monde, des réalités, des vérités et des Dieux, qui leurs permettent des voyages, à travers le temps et les multiples dimensions supplémentaires du cosmos, qui n’est en réalités, que des voyages à travers les connections synaptiques neuronaux, de leurs diverses et multiples zones cervicales, entre conscience et subconsciences, jusqu’aux porte du paradis et l’éternité.
Que nous sommes tous atteint d’une forme de maladie pathologiques psychiatriques, qui est nos perceptions et nos conceptions des réalités, qui est notre personnalité, nos convictions, nos systèmes de croyances et l’organisation de notre propre mémoire, à l’intérieur même de nos cerveaux et de nos esprits, entre consciences et subconsciences.
Toutes ses longues explications, pour vous dévoiler et vous dire, de quoi est fait l’est diverses intelligences, que ce soit les intelligences cognitives, émotionnelles et spirituelles, que nous avons tous et cela que l’on le veuilles ou non, des relations avec les morts, que ce soit les religieux et les professionnels, de quelques soie les métiers et les compétences, ce sont les morts, qui sont dans des voyages et en interaction avec nous, qui se trouves à bien d’autres époques et à bien d’autres dimensions supplémentaires du cosmos, qui n’est en réalités et en vérités, que les organisations des milliards et des milliards, de connections synaptiques neuronales, que les organisations des morts, qui sont sous formes de fréquences et de vibrations, à l’intérieur même des divers et multiples zones cervicales, entre consciences et subconsciences.
Nous sommes en permanences en contacte et en interactions avec des morts, qui sont humains et non humains, cela nous permet tout simplement de fonctionner, d’exister et de vivre, cela nous permet de penser, de comprendre, de réfléchir, d’interpréter, de mémoriser, de ressentir, de bouger et de tout simplement vivre.
Car finalement nous sommes tous uniques au monde, nous avons tous nos propres perceptions et nos propres conceptions de ce qu’est la réalité, notre propre personnalité, notre propre intelligence et avons tous réalisés ses propres associations, des fréquences et des vibrations, à l’intérieur même de nos multiples et diverses zones cervicales, à l’intérieur même de nos propres cerveaux et de nos propres esprits, entre consciences et subconsciences, nous avons tous ses propres perceptions et ses propres conceptions de ce qu’est les réalités, les vérités, le monde, le cosmos et les Dieux.
Nous avons tous des divers formes de niveaux d’intelligences, qui dépend des multiples contacts avec les morts et qui parte pour des voyages jusqu’à nous, qui viennent de bien d’autres époques et de bien d’autres dimensions supplémentaires du cosmos, qui ne viennent qu’en réalités, que des diverses et des multiples zones cervicales, qui viennent des organisations des milliards et de milliards de connections synaptiques neuronales, qui nous font être parfois être intelligents, qui nous font pensées, qui nous font voire, qui nous font réfléchir, qui nous font comprendre, qui nous font interpréter, qui nous font exister et tout simplement vivre.
Le secret pour être un génie, ne se trouvent que dans les méthodes d’apprentissages et de mémorisations, de quelles manières ont n’organisent sa mémoire et son cerveau, qui n’est en réalité de quelles manières, on n’organisent les morts, c’est-à-dire les fréquences et les vibrations, car ce n’est que des contacts et des interactions avec les morts, qui sont humain et non humains, qui ne se trouve, que dans des diverses maladies pathologiques psychiatriques.
L’intelligences n’est que la capacité de créer, des nouveaux systèmes de croyances, des nouvelles organisations des mémoires et des cerveaux, l’intelligences est la capacité d’organisations des informations et des morts, qui sont sous formes de fréquences et des vibrations, l’intelligence est la capacité de créer, des nouvelles organisations de divers et varier d’au-delàs du cosmos.
Le secret pour être un génie, réside dans la méthode d’apprentissage, c’est de quelle manière on traites et on n’associes l’informations, c’est-à-dire les fréquences et les vibrations, dans notre propres mémoires et dans notre propres cerveaux, qui n’est en réalités de quelle manières avec nos perceptions et nos conceptions des réalités, notre personnalité, on n’organisent son cerveaux et son esprit, au niveau du conscient et du subconscient, de quelles manière selon ses propres perceptions et ses propres conceptions, des réalités et du monde, on à organisés les diverses et multiples zones cervicales, qui ne sont en réalités, que des organisations de multiples et diverses dimensions supplémentaires du cosmos.
Le génie est en contact et en liaison permanant, avec les mondes des morts et des multiples et diverses zones de son cerveau, entre consciences et subconsciences, qui selon ses propres pathologies psychiatriques, sa propre personnalité, ses propres associations de l’informations, des fréquences et des vibrations, ses propres croyances et qui a réussi à organiser ses voyages vibratoires psychologiques et spirituels,
Le génie est celui qui a réussie lui-même à organiser, les diverses formes d’informations et les morts, qui sont sous formes de fréquences et de vibrations, à l’intérieur même des diverses zones de son cerveau et de son esprit, chaque génie à théoriquement, ses propres perceptions et ses propres conceptions des réalités, ses propres systèmes de croyances, ses propres méthodes d’apprentissages et ses propres associations de l’informations, c’est-à-dire des fréquences et des vibrations, à l’intérieur même des diverses zones de son cerveaux et de l’esprit, qui est en parfaite communion et en communication avec des morts, qui se trouvent à bien d’autres époques et à bien d’autres dimensions supplémentaires d’une manière cervicales et cosmiques, qui est entre consciences et subconsciences.
Le Génie parfait, n’est que la capacités d’échanger des informations avec des morts, qui a pour formes l’échanges des fréquences et des vibrations, à l’intérieur même des cerveaux, des esprits et du cosmos, à l’intérieur des cerveaux des génies, il y a sans cesse des échanges d’information, entre le génies et les morts, qui habitent et vivent, à bien d’autres époques et à bien d’autres dimensions supplémentaire de son propre cerveaux et du cosmos, en d’autres termes, chacune des diverses et multiples dimensions supplémentaires, est une formes d’expériences, pouvant nous permettre de nous faire vaincre la mort et de nous accueillir.
Depuis le début de l’histoire de notre humanité et de notre civilisation, il a toujours exister des êtres d’une extrêmes intelligences et en contact avec des morts, que ce soit passé, présent et future, depuis toujours de graves maladies pathologiques psychiatriques existent, dans le passé nous étions en relation avec des Bêtes et des Démons, maintenant avec des saints, des anges, des archanges et Dieu, mais de nos jours, on parles de compétences professionnelles et nous sommes en relation avec des services organiser psychopathiques de vraies pro.
Tout est organisation des maladies pathologiques psychiatriques, cela tout aussi bien des croyants et que des professionnels, ce sont des interactions avec des morts humain et non humain, qui sont dans des voyages afin d’arrivées jusqu’à nous, tout se passe entre nos deux oreilles et parmi notre propre organisation des diverses zones cérébrales et cosmiques.
Mais je vous en est déjà trop dit, je vous invitent à mettre un petit j’aime sur ma vidéo et abonnez-vous à ma chaîne YouTube, si je vous est intéressez, vous pouvez me faire un don du montant de votre choix sur la connexion sécurisé de Tipeee.
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Je vous souhaite à tous une bonne journée et à bientôt.
Cordialement Ulice le Templier.
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Intelligence
L’intelligence est l’ensemble des processus retrouvés dans des systèmes, plus ou moins complexes, vivants ou non, qui permettent de comprendre, d’apprendre ou de s’adapter à des situations nouvelles. La définition de l’intelligence ainsi que la question d’une faculté d’intelligence générale ont fait l’objet de nombreuses discussions philosophiques et scientifiques. L’intelligence a été décrite comme une faculté d’adaptation (apprentissage pour s’adapter à l’environnement ou au contraire, faculté de modifier l’environnement pour l’adapter à ses propres besoins). Dans ce sens général, les animaux, les plantes ou encore les outils informatiques (apprentissage automatique) font preuve d’une intelligence.
L’intelligence peut être également perçue comme la capacité à traiter l’information pour atteindre des objectifs.
L’intelligence est étudiée par la psychologie cognitive, la psychologie du développement, l’anthropologie (évolution), l’éthologie cognitive (intelligence animale), les neurosciences (biologie) ou encore la génétique.
Chez les animaux ce sont les systèmes de communication endocriniens et/ou neuronaux qui produisent l’intelligence.
Sommaire
- 1Étymologie et définitions
- 2Définitions scientifiques
- 3Concepts de l’intelligence selon les cultures
- 4Intelligence dans le monde animal
- 5L’intelligence en philosophie
- 6Intelligence humaine (psychologie)
- 7Intelligence artificielle
- 8Intelligence collective ou intelligence de groupe
- 9Notes et références
- 10Voir aussi
Étymologie et définitions[modifier | modifier le code]
Le terme intelligence de la langue française est emprunté au latin intellĕgentĭa, lui-même dérivé du latin intellĕgō (« discerner, démêler, comprendre, remarquer ») dont le préfixe intĕr (« entre, parmi ») et le radical lĕgō (« ramasser, recueillir, choisir ») donnent le sens étymologique « choisir entre, ramasser parmi (un ensemble) »1,2,3,4,5.
Selon les Définitions de Platon, l’intelligence est l’ « activité qui permet d’acquérir la science ».[réf. nécessaire] D’après Priscien de Lydie6, Théophraste et Aristote définissent l’Intelligence comme une faculté différente de la sensibilité, aussi bien que de l’opinion et de la raison.
Selon le Trésor de la langue française informatisé : « [Dans des circonstances nouvelles pour lesquelles l’instinct, l’apprentissage passé ou l’habitude ne dispose d’aucune solution] Aptitude à appréhender et organiser les données de la situation, à mettre en relation les procédés à employer avec le but à atteindre, à choisir les moyens ou à découvrir les solutions originales qui permettent l’adaptation aux exigences de l’action. »[réf. nécessaire]
Définitions scientifiques[modifier | modifier le code]
En 1986, plus d’une vingtaine d’experts en psychologie ont été interrogés pour donner une définition de l’intelligence, mais aucun consensus ne s’est dégagé7. L’intelligence reste un concept encore mal défini sur le plan scientifique8.
Une commission de psychologues experts sur la question de l’intelligence humaine, rappelle cependant qu’un manque de consensus sur une définition est un problème commun en science, lorsqu’un concept est encore exploré et comporte de nombreuses questions non résolues. (« Scientific research rarely begins with fully agreed definitions, though it may eventually lead to them. »)8.
Concepts de l’intelligence selon les cultures[modifier | modifier le code]
L’intelligence, certaines formes d’intelligence ou encore le manque d’intelligence sont ces concepts retrouvés dans toutes les cultures et dans toutes les langues, sous des noms variés, et qui ont changé selon les époques
En français, de nombreux qualificatifs réfèrent à l’intelligence ou au manque d’intelligence : on parle d’une personne intelligente, fine, lucide, sage, judicieuse, futée, rusée, douée, raisonnable, brillante, géniale, talentueuse, perspicace, pertinente, sensée, etc. Au contraire on qualifie une personne manquant d’intelligence d’ignorante, bête, stupide, idiote, débile mentale, attardée, retardée, déraisonnable, simple, sotte, insensée, etc.
En psychologie, ce champ d’étude est parfois appelé l’étude des théories implicites de l’intelligence (en). Ce domaine de recherche fait l’hypothèse que des populations, dans une région donnée et à une époque donnée, ont des croyances, valeurs, concepts sur l’intelligence. Il ne s’agit pas des théories philosophiques ou autres théories explicites, écrites et discutées entre spécialistes, mais des croyances populaires, partagées sans être forcément écrites ni verbalisées, d’où le terme « implicites ». Ces concepts culturels ou théories implicites ont des conséquences sur les comportements, par exemple les comportements des parents envers l’enfant, ou des professeurs envers leur élève.
Sources de biais dans les études scientifiques de l’intelligence[modifier | modifier le code]
En psychologie interculturelle, l’objectif de l’étude des théories implicites de l’intelligence est de mieux comprendre les différences interculturelles, ainsi que les points communs (et peut-être universels) entre les cultures. Elle est nécessaire pour réaliser l’adaptation interculturelle des tests d’intelligence, d’origine occidentale, aux populations non occidentales, afin d’éviter des biais conceptuels9. Par exemple, en occident, la vitesse d’exécution d’une tâche tend à être considérée comme une marque d’intelligence. Ce n’est pas le cas dans de nombreuses régions africaines ou asiatiques qui valorisent d’autres qualités comme étant des indices d’intelligence. La vitesse d’exécution qui est souvent prise en compte dans les tests d’intelligence introduit ainsi un biais culturel si le test est exécuté sur un enfant venant d’une culture non occidentale10,11.
Dans une culture donnée, les croyances relatives à l’intelligence diffèrent d’un individu à l’autre ou d’un groupe à un autre. Les croyances des élèves ou des professeurs sur le fait que l’intelligence est malléable ou non, ont des conséquences sur les performances des élèves12 (voir aussi effet Pygmalion qui réfère aux conséquences des croyances des enseignants sur les QI et résultats scolaires de leurs élèves).
Les théories implicites des chercheurs influencent aussi leur point de vue et leur approche pour mesurer l’intelligence, d’après le psychologue américain Robert J. Sternberg13.
Cultures africaines[modifier | modifier le code]
En manding, langue de tradition orale parlée en Afrique de l’Ouest par les Bambara, les Dioula et les Malinké, l’équivalent du mot intelligence, hakili se définit comme la faculté mentale qui distingue l’Homme de l’animal et qui lui permet de gérer au mieux ses rapports avec la société humaine et avec son milieu naturel. L’intelligence se manifeste par deux opérations. La première Taasi : réfléchir en faisant des déductions à partir de faits observés. La deuxième est Miiri : penser et induire des causes et des vérités générales à partir de faits observés. Les deux opérations sont complémentaires et conduisent à l’action. Taasi conduit à des actions efficaces à travers l’élaboration de stratégies tenant compte de toutes les données. Miiri conduit à des règles d’intervention générales et des plans d’action à long terme. Taasi permet la survie devant les difficultés, les solutions des problèmes brûlants, alors que Miiri projette dans l’avenir et permet la créativité.[réf. nécessaire]
Cultures musulmanes[modifier | modifier le code]
Pour Ibn Khaldoun, l’intelligence comporte plusieurs branches incluant l’intelligence discernante ou tactique ; l’intelligence expérimentale ou stratégique ; et l’intelligence spéculative, scientifique ou politique14.
Cultures occidentales[modifier | modifier le code]
Dans la culture occidentale, l’intelligence est intimement liée à l’idée de compréhension, rapide et/ou profonde, d’un « problème » identifié, perçu a priori comme complexe, situé dans un domaine de connaissance et/ou dans une utilisation des données de la nature et/ou dans un ensemble de relations sociales. Cette compréhension peut être singulière ou partagée. Elle sous-tend souvent l’idée d’une invention, d’une connaissance, d’un langage à découvrir pour résoudre ce problème, pour adapter une solution. Cette compréhension peut prendre diverses formes : artistique, corporelle, littéraire, artisanale, scientifique et technologique. Elle est généralement associée à une activité dont on situe intuitivement la source à la fois dans l’esprit de l’homme et dans son cerveau. [réf. nécessaire]
Intelligence dans le monde animal[modifier | modifier le code]
Article détaillé : Intelligence animale.
L’intelligence animale est l’objet d’étude de l’éthologie cognitive. En éthologie, l’intelligence est ce qui permet d’augmenter l’adaptation à l’environnement et donc la survie15.
La question de l’intelligence animale permet de comprendre les capacités de compréhension ou d’apprentissage de l’animal qui peuvent être utiles dans le cas du dressage d’animaux domestiques. Sur un plan plus fondamental, la compréhension et l’étude de l’intelligence animale permettent de comprendre la nature et l’évolution de l’intelligence ainsi que les différences entre les espèces ; et permet d’explorer les liens entre la formation de l’intelligence et la conscience chez l’animal (en) ou la communication chez l’animal (ou langage animal).
L’espèce qui désigne les humains a été nommée Homo sapiens, « homme sage », par le naturaliste Carl von Linné parce que les humains étaient considérés comme la plus intelligente des espèces y compris par rapport aux autres hominidés.[réf. nécessaire]
L’intelligence en philosophie[modifier | modifier le code]
afficherCette section ne cite pas suffisamment ses sources (décembre 2012).
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Pascal distingue esprit de géométrie et esprit de finesse. Dans le cas du premier, certains individus éprouvent de la difficulté à pencher la tête sur le côté, mais une fois l’effort effectué, les différents éléments sont éclairés. Dans le cas de l’esprit de finesse, les faits sont directement devant eux, mais ils ne disposent pas tous de l’acuité nécessaire pour les distinguer convenablement. Il s’agit d’une intelligence dans laquelle les facultés intuitives prennent une part plus importante. [réf. nécessaire]
Bergson entreprend dans L’Évolution créatrice, la critique de l’intelligence géométrique. Sa critique porte sur la paresse de l’esprit lorsqu’il se contente d’une intelligence qui découpe indéfiniment les phénomènes, crée des hiérarchies, des catégories… Selon Bergson, ces facultés manquent l’essentiel du cours du monde : la durée.[réf. nécessaire]
Intelligence humaine (psychologie)[modifier | modifier le code]
Article détaillé : Intelligence humaine.
Les débuts de l’étude scientifique de l’intelligence par la psychologie sont généralement attribués à la création du premier test mesurant l’intelligence, l’Échelle métrique d’intelligence d’Alfred Binet et Théodore Simon. Ce test a connu immédiatement un grand succès et a été traduit puis amélioré, en particulier par David Wechsler aux États-Unis. Les mesures de l’intelligence (le quotient intellectuel) sont du domaine de la psychométrie et ont beaucoup bénéficié des avancées de la statistique.
Les tests de l’intelligence sont les meilleurs prédicteurs uniques connus des performances scolaires et académiques des enfants, c’est pourquoi leur emploi s’est beaucoup répandu dans les milieux scolaires. Cependant, il est également démontré que malgré leur forte puissance statistique, ces tests ne prédisent que 25 % de la variance des performances scolaires ou succès scolaire (corrélations de r=0.50)8. De nombreux autres facteurs, à la fois non cognitifs et cognitifs, influencent les résultats aux tests d’intelligence, d’une part, et surtout le succès scolaire8. Les limites de ces tests sont donc reconnues par tous les spécialistes et continuent à être étudiées et discutées dans le champ de la psychométrie8.
Les théories de l’intelligence s’appuyant sur l’approche psychométrique ont mis en évidence un facteur g et des habiletés cognitives spécifiques indépendantes. Les modèles les plus employés combinent les facteurs représentés sous forme hiérarchique. Le modèle de Cattell-Horn-Carroll est le plus employé et le plus étudié. Dans ce modèle, le facteur g est représenté, prédit par des habiletés cognitives générales (intelligence fluide ou raisonnement, intelligence cristallisée ou compréhension et connaissance, compétences quantitatives, lecture, mémoire de travail, mémoire à long-terme, etc), elles-mêmes mesurées par des tests mettant en jeu des compétences plus spécifiques (70 sont dénombrées). Cependant, d’autres théories présentent des alternatives intéressantes, en particulier des théories envisageant d’autres formes d’intelligence. Ainsi, la théorie triarchique de Robert Sternberg, met l’accent sur une intelligence pratique et sur une intelligence créative. La théorie des intelligences multiples de Howard Gardner a remporté un grand succès dans les milieux éducatifs8. Ces théories des intelligences multiples sont cependant loin de faire consensus dans la communauté scientifique.
Les développements technologiques dans le domaine de l’imagerie cérébrale, de la génétique, ont permis des avancées notables sur la question des relations entre le développement de l’intelligence (de l’enfant à la personne âgée) et les facteurs biologiques8. Les influences génétiques sont reconnues et ont été démontrées par des études sur des jumeaux. Ces influences génétiques interagissent précocement avec les fortes influences de l’environnement qui elles aussi ont été largement démontrées8. Ces interactions complexes qui semblaient être des paradoxes insolubles pendant deux décennies, ont été comprises en 2001 par Dickens et Flynn dans la perspective du développement épigénétique où génétiques et interactions avec l’environnement s’influencent mutuellement, fortement et précocement16.
Les débats sur l’intelligence et ses mesures ont été nombreux et de nombreuses questions restent encore sans réponse dans ce domaine8.
Intelligence artificielle[modifier | modifier le code]
Article détaillé : Intelligence artificielle.
Andreas Kaplan et Michael Haenlein définissent l’intelligence artificielle comme « la capacité d’un système à correctement interpréter des données externes, d’apprendre de ces mêmes données, et d’utiliser ces enseignements afin de réaliser des objectifs et des tâches spécifiques avec une adaptation flexible »17.
Test de Turing[modifier | modifier le code]
Article détaillé : Test de Turing.
En l’absence d’une définition satisfaisante de l’intelligence, il est difficile de décider si une machine (ou un animal) est ou non intelligent. Alan Turing propose donc de prendre l’homme comme étalon. Ainsi, ce test consiste à mettre en confrontation verbale un humain avec un ordinateur et un autre humain à l’aveugle. Si l’homme qui engage les conversations n’est pas capable de dire lequel de ses interlocuteurs est un ordinateur, on peut considérer que le logiciel de l’ordinateur a passé avec succès le test. Cela sous-entend que l’ordinateur et l’homme essaieront d’avoir une apparence sémantique humaine.
Modèle de l’intelligence comme capacité à simplifier l’information de Kolmogorov[modifier | modifier le code]
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Certains chercheurs se sont inspirés des travaux réalisés en informatique théorique autour de la notion de complexité descriptive, notamment la complexité de Kolmogorov, pour évaluer l’intelligence comme la capacité à décrire ou expliquer quelque chose aussi simplement que cela peut l’être.
En ce sens, l’intelligence serait la capacité à compresser l’information18.
C’est en fait souvent le genre d’intelligence qui est implicitement évaluée dans les tests de quotient intellectuel. Par exemple, à la question : « considérez la suite de nombres 1,2,3,… Quel est le nombre suivant ? » La réponse attendue sera 4, avec la justification implicite « parce que c’est la suite des nombres entiers », alors qu’on pourrait très bien répondre 5 (suite de Fibonacci), en justifiant que « chaque nombre de cette suite est la somme des deux précédents » (ou tout autre nombre si tant est que la justification soit logiquement acceptable). Mais la réponse attendue est « la plus simple », c’est-à-dire, plus formellement, c’est l’explication qui a la plus faible complexité de Kolmogorov.
Modèle mathématique d’un agent intelligent[modifier | modifier le code]
En 2000, Marcus Hutter a proposé un modèle mathématique (informatique fondamentale) d’un agent universellement intelligent19,20, c’est-à-dire d’un système interagissant avec n’importe quel environnement (calculable) de manière optimale. Ce modèle se fonde d’une part sur le cadre de l’apprentissage par renforcement, où l’agent interagit avec son environnement dans le but de maximiser l’espérance de ses récompenses et punitions, et d’autre part sur l’Induction de Solomonoff21, qui permet d’attribuer une probabilité à chaque futur possible, en fonction de sa simplicité (au sens de la complexité de Kolmogorov).
Ce modèle, dénommé AIXI, permet à la fois de donner une définition rigoureuse de l’intelligence et d’en donner une borne supérieure. Il n’est pas utilisable en pratique pour créer une intelligence artificielle, car AIXI est un modèle incalculable. Des approximations sont cependant réalisables, mais au prix d’un besoin en ressources (temps de calcul, espace mémoire) immense, et actuellement seulement dans le cas de petits problèmes jouets [incompréhensible]22.
Intelligence collective ou intelligence de groupe[modifier | modifier le code]
Articles détaillés : Intelligence collective et Intelligence collective sur Internet.
Notes et références[modifier | modifier le code]
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- Le Robert., Tomi, Marianne., Hordé, Tristan. et Tanet, Chantal., Dictionnaire historique de la langue française : contenant les mots français en usage et quelques autres délaissés, avec leur origine proche et lointaine… (ISBN 9782321007265, 2321007265 et 9782321010302,OCLC 962378951, lire en ligne [archive])
- Ernout, Alfred, 1879-1973. et André, Jacques, 1910-1994., Dictionnaire étymologique de la langue latine : histoire des mots, Klincksieck, (ISBN 2252033592 et 9782252033593,OCLC 469343405, lire en ligne [archive])
- Dubois, Jean, 1920-, Dauzat, Albert, 1877-1955. et Dauzat, Albert, 1877-1955., Grand dictionnaire étymologique & historique du français, Larousse, (ISBN 203532310X et9782035323101, OCLC 300299961, lire en ligne [archive])
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Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
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Bibliographie[modifier | modifier le code]
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